Notre ami Georget est à ne point douter un sage; régulièrement il nous écrit et s’intéresse particulièrement à tout ce qui touche notre Légion étrangère, un véritable "Ami-sympathisant" digne de notre plus bel estime:

Nous avons besoin de savoir que nous comptons encore pour quelqu’un d'autre à l’extérieur de notre institution et toute marque de sympathie est d’une importance dont on mesure mal la résonnance.

Un des messages de Georget pour Noël, partage :

« A Cœur vaillant, rien d'impossible ! L'important, ce n'est pas ce qu'on est, mais ce qu'on veut être. En se connaissant soi-même suffisamment pour ne pas surestimer la difficulté du pari, en étant parfaitement clair sur ce qu’on attend, sur les possibilités limitées de laisser libre cours au caprice, à la nécessité de l’instant et du savoir faire avec comment savoir faire « sans »… En se connaissant suffisamment aussi pour ne courir et ne faire courir aucun risque à l’autre… Un respect immense de soi-même autant que de l’autre… Voilà bien une image que je garde d’expérience de ce que représente pour moi le légionnaire… »

« Un jour tu passes la frontière,

D'où viens-tu mais où vas-tu donc,

J'arrive où je suis étranger, La nuit plus

 longtemps nous va mieux. C'est le grand jour

 qui se fait vieux,  Je  me  regarde et je m'étonne. Peu

 a peu tu te fais silence. Et sur le toi-même d'antan,Tombe

 la poussière du temps. C’est long  vieillir au bout du compte, Le

sable a fuit entre nos  doigts, C'est long d'être un homme une chose,

C'est long  de  renoncer  à tout , Qui  se  font  au-dedans  de  nous,

Lentement plier nos genoux. Rien n'est précaire comme vivre,

C'est  un  peu  fondre comme  le givre Et pour le vent être

léger. »