A l’instar de nombreuses associations l’assemblée générale de notre amicale s’est tenue en comité restreint dans la salle de réunion du Domaine Capitaine Danjou mis gracieusement à notre disposition par le Lieutenant-Colonel Gilles Normand Directeur de l’IILE. Le Lieutenant-Colonel Geoffroi Legat Directeur Général du FELE, membre de droit nous a fait l’insigne honneur de présider celle-ci, en présence du Chef d’escarons (er) Jacques Lorho, délégué de la FSALE et du Major (er) Cristobal Ponce Y Navarro, président de l’AALE Vaucluse et du Lieutenant-colonel (er) Michel Deutschmann, président de l’AALE de Nîmes.
Après le déroulé habituel des bilans d’activités et financiers, l’hommage aux disparus et le quitus de notre vérificateur au compte Monsieur Jacques Mauret, nous avons évoqué l’avenir de notre Amicale :
« Créée en 1986 par la volonté des COMLE de l’époque le Général Jean-Claude Coullon et « portée sur les fonts baptismaux » par le Général Jean-Louis Roué, il convenait de s’interroger sur la place et le rôle de notre Amicale qui connaît aujourd’hui des jours difficiles. Les échanges constructifs des participants ont conclu que cette Amicale située au point zéro de la solidarité légionnaire devait perdurer coûte que coûte.
Cette affirmation en guise de conclusion nous renvoie au sujet abordé au bac philo de cette année « sommes- nous responsables de notre avenir ». A laquelle le philosophe répond : « Nous ne sommes à proprement parler jamais responsables de l’avenir qui, par définition, est incertain et contingent. Mais il est de notre responsabilité́ morale d’associer aux buts personnels poursuivis une dimension collective et projective ».
Rasséréné par ces soutiens nous pouvions ensuite passer à la remise de la médaille de la FSALE, effectuée par le Chef d’Escadrons (er) Jacques Lorho à un membre fidèle de notre Conseil d’Administration, monsieur Guy Sorban, délégué de Toulon.
Un repas au restaurant de l’IILE clôturait cette réunion ponctuée par le chant de la 13, petit clin d’œil au futur congrès de la FSALE.
Nul doute, la morosité n'était pas de mise...